Mercredi 6 juillet, les députés se sont réunis en Hémicycle pour écouter le discours de Politique Générale de la Première Ministre, Madame Elisabeth Borne.
Conformément à ce qui avait été annoncé et parce que le Gouvernement ne dispose pas d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale, la Première Ministre ne s’est pas soumise au processus du vote de confiance inscrit à l’article 49 de notre Constitution, vote qui engage la responsabilité du Gouvernement.
Sur le fond, Raphaël Schellenberger salue quelques annonces présentées par la Première Ministre comme la renationalisation d’EDF, le nouveau calcul de l’Allocation Adulte Handicapé basé sur la déconjugalisation, la création de 200 nouvelles brigades de gendarmerie, et les onze nouvelles unités de forces mobiles ou encore l’augmentation des revenus issus du travail.
Néanmoins, le discours de la Première Ministre manquait d’ambition et de vision à terme. Au-delà des mesures d’urgence – qui sont nécessaires à prendre – pour rendre aux Français davantage de pouvoir d’achat, le Gouvernement ne semble pas avoir de feuille de route claire.
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