Dans le cadre de l’examen de la loi « Grémillet », l’Assemblée nationale a voté un moratoire sur les énergies renouvelables intermittentes. Raphaël Schellenberger a voté contre.
Car ce n’est pas en opposant les énergies que l’on construira un système énergétique cohérent. Il faut sortir des guerres de religion et penser l’ensemble du système.
Les ENR créent des perturbations dans le système. Et ce sont ces difficultés que nous devons traiter. Un moratoire remettant en cause l’existence même des moyens de production, fussent-il intermittents, n’a aucun sens et n’accompagnera pas la croissance de l’énergie que nous voulons.
Il nous faut des réponses de fond et sérieuses, pas des mesures d’affichage pensées pour la communication facile.
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