Le projet contesté de fusion entre l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) a été adopté de justesse le 19 mars.
Après avoir voté contre cette fusion, le député s’est abstenu considérant que la stratégie de gouvernance de la sûreté nucléaire essentielle à la relance industrielle présenté par le gouvernement n’offrait pas les garanties nécessaires, et portait en elle des erreurs managériales qui pourraient à terme produire plusieurs années d’inefficacité.
La commission mixte paritaire censée concilier les visions de l’Assemblée nationale et du Sénat se réunira le 3 avril prochain.
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